Depuis son mariage en août 1870 Paul Verlaine est souvent hôte chez sa belle-mère Mme Maute de Fleurville. L'une des pièces de son appartement, rue Nicolet à Paris, donnait sur un petit jardin qui tamisait les rumeurs de la ville. C'est à cet intérieur que sont liées les impressions du poète devenues deux années plus tard l'une des plus belles „Romances sans paroles". Il s'agit de la cinquième „ariette oubliée".

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